Kaliyah hope vaughn; ready to play

Kaliyah vient de reprendre conscience. Elle n’ose pas ouvrir les yeux, elle connaît bien ses matins du genre. Si elle ose ouvrir les paupières et qu’il y avait de la lumière, elle allait avoir encore bien plus mal à la tête qu’elle avait présentement. Par contre, on pu voir la couleur de ses yeux noisettes quand elle senti des lèvres se pauser sur le siennes, c’est là qu’elle réalisa qu’elle utilisait le torse d’un inconnu comme oreiller. Elle regarda celui qui dormait à ses côtés, un maigre sourire s’afficha sur les lèvres de l’aguichante brune. Il était pas mal. Elle détacha leur corps pour enfiler le chandail d’un beau ténébreux et aller envaler au plus vite de l’aspirine.

Maintenant, elle devait avoir sa dose de nicotine. Elle cherchait maintenant son sac à mains, après avoir fouillé dans ce qu’elle avait laissé traîné la veuille chez son charmant étranger, elle abandonna et en prit un dans le paquet sur la table. Elle s’assit tranquillement dans la cuisine en se demandant si elle devait boire son café avant ou après sa douche ? Avant, il était temps, ses deux drogues matinal, la caféine et la nicotine, enfin la deuxième, c’est pour tout les moments de la journée. Son mal de tête diminuait avec le temps, maintenant, tasse à la main, elle parti pour la salle de bain ouvrir l’eau chaude, en passant, elle regarda dans la chambre et il dormait toujours, normal après la nuit qu’ils venaient du passer.

Elle continua son chemin et s’arrêta devant les toilettes là où elle ferma la porte derrière elle et Kaliyah ouvrit que l’eau froide, question de ce remettre les idée au clair. Vingt minutes plus tard, elle sortit de la petite pièce pour retourner au lieu de départ, la chambre. Entouré dans une serviette, l’homme toujours endormit, elle trouva ses vêtements au sol. C’est à ce moment qu’elle enfila la petite robe de soirée qu’elle avait porter dans le club la veille. Elle retourna dans la salle de bain cinq minutes pour mettre un peu de mascara, fond de teint, son rouge à lèvre préféré rouge sang et voilà, c’est cheveux bouclait naturellement de façon magnifique, donc, Mlle Vaugh était prête avant, elle prit son sac à main qu’elle avait retrouver près de sa robe, sorti de celui-ci un bout de papier et un stylo, deux secondes plus tard, elle était dans le salon, son ténébreux était réveillé maintenant. Elle le sourit, elle avança classe vers la porte, enfila ses soulier, fit demi-tour, l’approcha, l’embrassa pour une dernière fois, lui mettant dans la main le petit bout de papier, sur lequel, son nom et son numéro était inscrit. Elle quitta les lieux et continua sa routine comme tout les autres jours de sa vie.

Ça fait un ans, pourquoi je parle de ce matin là en particulier, parce qu’elle en a vécu plusieurs de ce genre, mais ce jour-là, lorsqu’elle mit le pied chez elle pour changer de vêtements et faire autres chose par la suite, ce fut différent. Lorsqu’elle mit le nez dans sa maison familiale, les lunettes soleil à la figure, le chaleureux hall était maintenant vide. Il l’avait prévenue. Son père, il lui avait dit, si tu ne change pas, je pars et ça, sans toi. Il était parti. Il avait toujours était clair si elle ne changeait pas d’attitude, il partait. S’il pensait que ça la ferrait changer. Elle est toujours aussi tête en l’air, fêtard, insouciante, rebelle, parfois un peu hautaine. Elle s’aime ainsi, une junky qui passe son temps à boire et qui en plus travaille dans un bar. Son départ, ce vieillard l’a bien fait pleurer, mais elle ne se laissera jamais abattre. Elle est un peu trop fière et son orgueil, elle devrait peut-être le calmer un peu, comme elle est bien ainsi, elle ne changera pas pour personne.